Par Touré Maliaka Sefu
Après les événements liés à la coulée des laves du volcan nyiragongo en 2002 en ville de Goma et ayant causé une perte de plus de 150 personnes en sus de la détérioration de 15 % des infrastructures urbaines, le 22 mai 2021, le même volcan entre en éruption spectaculaire causant une trentaine de morts et autant de disparus suite à des vagues de déplacements.
Bien que les laves aient cessé de couler à l’aube du 23 mai, les secousses sismiques sont demeurées constantes, provoquant la panique au sein de la population rescapée et celle les ayant endurées. Il appert que l’aide gouvernementale affectée aux premières heures est restée inconfortable, empirant davantage la détérioration de la soierie humanitaire assise sur la nature de tout ce qui tient pour survivance en faveur des premières victimes.
En réponse à tous les dégâts collatéraux encaissés du coté congolais, cette note de terrain procède à une évaluation de l’implication socio-économique du gouvernement appelé à anticiper les catastrophes naturelles de ce genre au travers la mise en place d’une politique publique de gestion assez orthodoxe de toutes les couches sismiques, en ce compris celle de Nyiragongo qui expose près de deux millions de ses compatriotes vivant en ville de Goma et alentours.