Par Hervé Lado
Pour devenir ce pilier de l’intégration continentale qui se profile, la diplomatie climatique africaine doit faire face à deux principaux défis. Le premier est celui du leadership et de la volonté politique. Le second défi concerne la participation du secteur privé.
La diplomatie climatique continentale qui semble s’affirmer doit s’accompagner d’une diplomatie scientifique et économique qui valorise les innovations scientifiques et entrepreneuriales dans l’économie verte, d’abord aux échelles nationales et locales. A défaut, les nouveaux gisements de financements, d’affaires, d’emplois et de bien-être que promet la lutte contre le changement climatique échapperont au continent en l’abandonnant dans ce statut historique de victime ou d’assisté.
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Des données que nous n’avions pas et qui en façonnant notre esprit attire notre attention sur la nécessité d’une réelle mobilisation et d’une action efficace et commune non seulement de nos dirigeants mais aussi de nous tous, chacun en fonction de ses capacités. Nous devons tous mettre le capital que nous sommes et que nous avons pour endiguer ce fléau. Merci docteur.