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Cher(es) ami(e)s penseurs de l’Afrique,
Thinking Africa tient à remercier les participants de la demi-journée d’étude du 26 mai dernier, autour de « l’ONU, l’Afrique et l’état actuel du maintien de la paix. » En ce mois de juin, TA vous propose de découvrir deux expériences africaines que sont le Muntu et l’acupeinture avec les entretiens vidéo de Messieurs Eboussi Boulaga et Peskine. Excellente découverte !
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Mamoudou Barry, chercheur à l’Ecole Doctorale de Droit de Normandie est également diplômé en Droit des affaires et fiscalité de l’Université de Rouen. Dans cette note, il tente de démontrer le résultat mitigé du recours à l’arbitrage international comme mode alternatif de règlement des litiges entre l’Etat et les investisseurs étrangers en Afrique. Il éclaire la méfiance des Etats à ce mode de règlement de litiges et met en exergue la sous-représentation des arbitres africains dans les grandes institutions de l’arbitrage international à travers des statistiques. Enfin il propose des pistes de solution.
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Neia Fernandes Monteiro est diplômée d’un master en Relations Internationales à Sciences Po Paris. Elle travaille en tant que chargée de programmes au sein de l’Agence d’exécution de la Coopération luxembourgeoise au Cabo Verde, Lux Dev. Cette note permet une analyse des grands enjeux des dernières élections législatives au Cabo Verde, de mars 2016 et apporte des éléments contextuels ainsi que des indicateurs socio-économiques permettant de comprendre les défis auxquels le pays est confronté. La victoire du parti « ventoinha » permettrait un changement de paradigme dans la gestion des affaires publiques mais aussi dans la manière d’explorer le potentiel de la jeunesse Cabo-verdienne.
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Benjamin K. Musampa, est titulaire d’une maitrise en droit international et politique internationale. Sa note analyse la diplomatie économique du Canada envers le continent africain en rendant compte du double enjeu auxquels sont confrontée les Etats africains. D’une part, la poursuite de leurs intérêts stratégiques avec le Canada et d’autre part l’établissement des conditions favorables pour une contribution plus large du Canada dans le processus d’industrialisation axé sur la valorisation des ressources naturelles. Pour atteindre cet objectif, il incombe aux dirigeants africains de déterminer leurs priorités afin d’adopter une vision stratégique propice à l’industrialisation du continent.
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Chérif Sadia, chercheur à Thinking Africa et maître-assistant au Département d’Anthropologie et de Sociologie de l’Université Alassane Ouattara, à Bouaké en Côte d’Ivoire, est intervenu le 9 mai 2016 dans l’émission Le journal des Auditeurs*sur la radio Africa N°1, pour débattre des questions autour des défis de l’accès à l’eau en Afrique et notamment au Burkina Faso et en Côte d’Ivoire.
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Chercheur associé à l’université de Göttingen en Allemagne et membre de Thinking Africa, Symphorien Ongolo est intervenu dans l’émission «Cultures du Monde» de la radio France Culture le 17 mai 2016.Dans l’après-COP21, la forêt et sa protection sont devenues de véritables enjeux diplomatiques, comme le prouve la mise en place du programme REDD+, visant à échanger des quotas carbone contre la protection de zones forestières entre Etats. Comment la forêt peut-elle devenir une monnaie d’échange ?
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A propos de Thinking Africa
Thinking Africa est un institut de recherche et d’enseignement sur la paix. Réseau de jeunes chercheurs, d’universitaires confirmés et d’experts, Thinking Africa propose, aux institutions, aux gouvernements, aux sociétés civiles, et aux organisations, des analyses et recommandations pour vivre la paix sur le continent africain.
Visitez notre site: www.thinkingafrica.org
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